"Pas choquée" par la possible libération de Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal estime que la "meilleure sanction" aurait été "l'inversion des résultats" de 2007
Candidate battue au second tour de l'élection présidentielle de 2007 par Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal estime ce lundi 10 novembre que "la meilleure